Waouh Zones_Timbres.
Un parc à portail d'une clé de piano.
Note discrète.
Un pâle hiver accordé,une tactile noire et blanche.
Un soir river.
Escalade lente sur les marches granit,une contemplation secrète.
Un amour amanite.
Un drap soir d'ivresse
Une Lionne fière,une faune sauvage.
Senteur métissage sur le timide d'un rire.
Un pont bois.
En une chambre,la roue d'une bougie,une marelle ciel mer.
Un sucre délicat.
Une dilection romanesque.
Une ricorée,d'une peine embarrassée.
Une mélodie fraicheur,la silhouette éclairée dans ses talons.
Sur l'asphalte quelques craquements.
A l'ombre,sur un banc,la bohème de son coeur,dansent tourbillons.
Tournent ses bas chiffon,ses volants.
Tornade en un mistral.
Une chorale de sérénade.
La goutte d'un sourire,un doute émotion.
Sur le sentier de ses mains,petites et douces,s'en vont chanter un hier lendemain en une voûte veloutée,en une humidité tiède.
S'en vont découvrir le coton,une glisse,une plume crayonnée triste.
Nature rayonnée,brise sur une dune aventurière,sous une lune de couleur,un coloré d'odeur.
Une chaussette abandonnée sur le sable.
Ses pieds fleurs lévitent sur les lignes d'une fable.
Une page serrée fort dans ses bras.
Un palace dehors,une narration d'écorce entrelace son corps,son pensif frôle un volvic fruité à son être frêle.
Une voix laine,un voile miel,une respiration Latine.
Une vérité sur la toile.
Un tableau en tango, réflexion féminine,un bar piano.
L'enfance d'un chocolat chaud,une mousse fruitée.
Une saveur d'ailleurs,un parfum x chantonne le prénom d'une Mulot perdue,
une être nue.
Un soudain silence,un souhait délecté au fraisier d'un sirop,un alcool aromatisé d'agrumes immortels.
Un papillon arc en ciel s'est déposé sur son ongle noir.
Du souffle de ses lèvres,le tard d'un rêve.
Elle le fait s'envoler,battre des ailes vers un siècle de pureté.
Un univers pays,un partage des prairies en un songe fragile,les saisons d'un futur,une forêt multicoloris.
Délicieusement enrobée,de la grâce d'une robe thé.
Une étrange bleutée vogue sur nuage dentelier.
Au bord d'un rivage,un lierre orangé,d'un nouveau monde déplié sur une carte infinie.
Des galaxies indépendantes.
L'indéfini répandu aux tours des étoiles,aux contours d'un astéroïde.
Une immensité lucide,d'un royaume d'Aigle,une limite Plutonienne.
Allure divague sur les vies lignes,fresque poème,un presque «je t'aime».
La crinière d'une Hippie,ornée d'une rose vertigineuses
Aux pluies floconnées sous un parapluie soir été.
Ses épaules détrempées,elle tremble abritée d'un vers hier conté.
En sa contrée écliptique,un merveilleux verger onirique.
Aversée d'une matinale pensée,suspendue à l'or d'une horloge,alors d'un pendule,d'une boussole éperdue,l'amour au jour lui.
S'enfuir d'un palais,s'écrire d'éternité à l'inconnu d'un coffret,de proses café aux versets imparfaits déversés,une fine craie.
Les vers porcelaine,brisés.
Un peu de notres touchons à l'érotisme,
L'invocation de lexiques,mots,d'évasion enthousiastes
Un départ lissé sur quelques lettres frémissantes.
Elle accompagne ma solitude,la compagne de mes vols d'altitude.
Un talc caresse,un hiver né.
Un espace à petits carreaux,deux jeunes Tourterelles,courbes lentement mimées ..
Une vierge contemplée du haut d'une colline.
Un chapeau de perles,un soleil blé.
Une paix drap,peau d'âme.
Un pré luminaire au toit stellaire.
Un après lune.
une femme aux émanations sud.
Une flûte de Paon,un chimère chenapan,un roucoule de soir une elle laine sur les pavés d'une cité,une Malouines apprêtée
Une paume déclinée par la buée expirée sur un miroir où elle soupire une prison qu'elle s'est tissée,un désespoir dessiné.
Une prière qu'elle reconstruit,un prénom destiné à l'imprécis.
Éblouie,sous la houle mousseuse d'un doigt de Champagne.
Un millésime instrumental.
Un caractère indécis,un solisme sensualiste,une piste acoustique.
Un cactus,
Une allée vers printemps.
Paysage d'un tapis Vénitien,un don déesse,de jolies fesses rebondies,des seins masqués
Mon impoli provoque les non-dits.
Sous un préau où ma solitude persiste,
D'un pinceau chatouillant la toile brillante d'un sanglot furtif
Un simple frôlement d'une bouche sur ses formes endormies.
Des soirs d'hiver,réchauffée.
Elle voyagea douce heureuse
Des croquis,elle s'accrochant en s'inventa un paysages
Le teint pâli sur une ile de degrés.
Les doigts humidifié par le verglas sur ses dentelles.
La flamme fut grêle en tout son être,entoure son pays sur un papier brûlant qu'elle efface dilué, de cette société.
Un corset délacé,un nid douceur.
Ses longs cheveux rousseur,flirtent avec le vent,valsent légers.
Une exquise se dégage d'un oragé,rupture d'un rêve création.
Une récréation ondoyante aux arias d'une Mésange,un année froide vive,une fictive embrassée.
L'épure adorable d'un charnel en un tanga.
Une mélodie au gré art,une fantaisie.
Un langage abrégé,un bécot tendre.
Une convoitise Aphrodite,une aphélie aux contours d'un murmure.
L'agréable effluve,une intime Odyssée.
Un empyrée prodigieux,une apparition,un astre,atour nuageux,une atmosphère acariâtre somnole dans sa nuisette.
Une graphie dénudée,en une affusion douceâtre,décolle un parfum corporel.
Une pulsion,battements ruisseau,un cursif dément,des frissons d'exitantes flaques et humides
Damoiselle,un crayon bois,une écriture soie.
Une étrenne erratique sur tes nymphes fraiches.
Sur tes lingeries velours,une volupté évanouissante,un sculpté oxygène.
Une intime échappée,une nitescence magique.
Une phrase bohème.
Je caresse l'hier enroulé en l'écharpe.
Un béret laine,un regard vitrail,
Une mélopée non ponctuée.
Nantaises.