A MonDonzel".
Donzel.
L’aveugle escapade un été doutes.
Depuis ce matin d’amer,en mes lignes le reflet de tes robes,vertes.
Une forêt de rimes romancées.
Éternelle lueur en mes écrits lunaires.
Le fluor du ciel dessine du miel.
La petite maison au cœur de tulipes,odeur pinceau.
Le vers vibre,la nuit étincelante,une mince senteur de menthe,place être.
Reste l’écharpe flocons que tu m’as confectionnée pendant nos tempêtes.
Ton dessein,teints cosmos.
Te glisser des pages,à ton oreille,murmurer,Mésange.
J’amertume sur l’astronomie des lettres.
Autrefois paysage,petite brindille sur les lignes de la marge.
J’ai hurlé mon cœur,en plaine sourires rivages.
Sous l’éther du soir,tes dessous de soie sont dehors.
Et puis le noir de l’esprit s’éveille,assis là aux recoins cassis.
Ta main sur mes joues,efface ma honte.
Fragiles sur note,lit blanc,baldaquin parfumé.
Je m'endors à l’oreiller d’odeur,dérive romantique.
Au sommet du néant,je peigne tes cheveux avec mes doigts tendresse.
Aux maux arc en ciel,un regard maladroit.
Le jour noir de la senteur nuptiale.
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