Je t'aime
"Je t'aime". Quelques mots. Juste une phrase. Une façon de dire bonjour, une façon de dire bonne nuit. Une façon de décrire ma vie, la tienne, la nôtre. Tout semblait si simple, si facile. À l'époque et même aujourd'hui encore, je ne cesse de m'étonner. Comment un individu peut il autant me correspondre ? Compléter entièrement cette partie vide de ma vie, cette moitié qui me faisait défaut ? Tu est unique à mes yeux, l'une de ces rencontres inespérées qui ne se produisent qu'une fois dans une vie. J'avais confiance en nous, en notre couple. Mon avenir, mes projets, tu en faisais partie, tu en étais le centre.
Mais le bonheur reste subjectif, égoïste. Le bonheur des uns fait le malheur des autres. Petit à petit, la tension est montée, les doutes sont nés, et cette chape de plomb, emplie de peur, de jalousie et d'hésitation est venue me serrer le coeur. Fidèle à toi-même, c'est le coeur plein d'Amour que tu as voulu me rassurer. Mais le mal était fait et, désorienté, j'ai vu mes convictions s'effriter. Je n'étais plus sûr de rien.
La fin du livre, tout comme le début, fait partie de l'histoire. Nous aurions dû vivre la nôtre ensemble jusqu'au bout, et non refermer le livre au début de l'épilogue. Nous nous sommes éloignés, laissant des sentiments contradictoires nous envahir. Déception, tristesse, haine. Les langues se sont déliées, et aujourd'hui encore je maudit ces mots qui sont sortis de ma bouche.
Je n'ai pourtant jamais cessé de penser à toi, à me torturer l'esprit durant de longues nuits éveillées. Mais on ne peut remonter le temps, il est trop tard.
Je ne sais pas si je t'ai aimée autant que je l'aurais voulu, ou si je te l'ai montré autant que tu l'aurais souhaité. Toujours est-il que te voir dans les bras d'un autre m'a ébranlé bien plus que je ne l'imaginais. Ç'aurait pu être la nouvelle de trop. Après toutes ces épreuves endurées tant bien que mal, je n'étais tout simplement pas prêt. Mais j'ai préféré faire bonne figure, jouer la comédie. Car lui réussira sans doute là où j'ai échoué : te rendre heureuse. Je souhaite que votre histoire ne connaisse pas de fin, tandis que je mettrai un point final à la nôtre.
"Je t'aime". Une façon de dire au revoir.
Mais le bonheur reste subjectif, égoïste. Le bonheur des uns fait le malheur des autres. Petit à petit, la tension est montée, les doutes sont nés, et cette chape de plomb, emplie de peur, de jalousie et d'hésitation est venue me serrer le coeur. Fidèle à toi-même, c'est le coeur plein d'Amour que tu as voulu me rassurer. Mais le mal était fait et, désorienté, j'ai vu mes convictions s'effriter. Je n'étais plus sûr de rien.
La fin du livre, tout comme le début, fait partie de l'histoire. Nous aurions dû vivre la nôtre ensemble jusqu'au bout, et non refermer le livre au début de l'épilogue. Nous nous sommes éloignés, laissant des sentiments contradictoires nous envahir. Déception, tristesse, haine. Les langues se sont déliées, et aujourd'hui encore je maudit ces mots qui sont sortis de ma bouche.
Je n'ai pourtant jamais cessé de penser à toi, à me torturer l'esprit durant de longues nuits éveillées. Mais on ne peut remonter le temps, il est trop tard.
Je ne sais pas si je t'ai aimée autant que je l'aurais voulu, ou si je te l'ai montré autant que tu l'aurais souhaité. Toujours est-il que te voir dans les bras d'un autre m'a ébranlé bien plus que je ne l'imaginais. Ç'aurait pu être la nouvelle de trop. Après toutes ces épreuves endurées tant bien que mal, je n'étais tout simplement pas prêt. Mais j'ai préféré faire bonne figure, jouer la comédie. Car lui réussira sans doute là où j'ai échoué : te rendre heureuse. Je souhaite que votre histoire ne connaisse pas de fin, tandis que je mettrai un point final à la nôtre.
"Je t'aime". Une façon de dire au revoir.